Rossy de Palma : « A 40 ans, je me suis rasé la tête comme une nonne bouddhiste et j’ai découvert l’univers des perruques »
Toute collaboration avec Rossy de Palma (Palma de Majorque, 1964) est un prétexte pour passer un bon moment. Parce qu’elle est une tempête qui Il apporte de la bonne humeur partout où il va. Et en riant, il en profite pour faire sa sainte volonté. Ne dis pas à Rossy de porter ceci ou cela ou de porter ceci ou cela, parce que Elle vient déjà de chez elle avec ses idées fixes, quand ce n’est pas avec un sac débordant de vêtements et d’accessoires qu’il a accumulés au cours de tant d’années de métier et qu’il souhaite mettre en lumière. C’est pareil avec les anecdotes. Posez à Rossy une question sur n’importe quoi et elle fait le lien entre ses souvenirs, ses lectures, ses amitiés…
Je me souviens que, quand j’étais petite, ma mère avait la patience de faire bouillir de l’eau avec du romarin pour le dernier rinçage, ce qui donnait à mes cheveux une brillance spectaculaire. J’ai la chance d’avoir des cheveux de bonne qualité. Imaginez les choses énormes qu’ils ont faites à mes cheveux pendant le tournage, et la vérité est qu’ils ont très bien résisté. Et désormais, avec cette collaboration avec Pantene, je dispose de toute une gamme de produits pour en prendre encore mieux soin.
Des milliers, parce que j’ai survécu aux années 80 et 90 et ensuite des atrocités ont été commises. Un jour, Tito, un coiffeur très célèbre de Barcelone à la fin des années 80, a réalisé une sculpture de mes cheveux pour un spectacle que je faisais avec mon groupe, Worse Impossible. C’était un meuglement très grand, comme une tour. Moi, innocent de moi-même, je m’ai quitté. Et quand on est parti, ça ne rentrait ni dans le van ni dans le taxi, et il a fallu l’aplatir, c’était comme une piste d’atterrissage, là, dans ma tête. Toujours en Italie, lors d’un tournage à la fin des années 90, ils m’ont donné un chignon pour un film si soigné que j’ai dit au coiffeur, tu me l’as fait une fois, mais il n’y en aura pas une seconde. Et j’ai dormi avec cette écheveau de cheveux pendant les quatre jours qu’a duré la séquence. Et vous ne pouvez pas imaginer la quantité d’assouplissant que j’ai dû utiliser pour l’enlever. Sans parler des postiches, des extensions, des fois où je les ai fait décolorer, teindre, couper… mais il a résisté.
J’ai eu beaucoup de franges, je les ai aussi laissées très longues. Et quand j’ai eu 40 ans, je l’ai rasé. Moi-même, avec les tondeuses. C’était mon cadeau, il avait une belle forme de tête et j’avais fait faire des photons à ce moment-là. J’ai passé trois ans ainsi, rasée, heureuse, confortable, je me sentais comme une nonne bouddhiste. Et mon fils, pour que tu vois à quel point les cheveux sont importants pour les garçons, m’a demandé : maman, quand vas-tu laisser pousser tes cheveux ? Et je lui ai dit : quand je tombe amoureux. Et il a répondu, mais maman, qui va t’aimer comme ça ?
En me rasant la tête, j’ai découvert un nouveau monde : l’univers des perruques. La souffrance est terminée. J’ai décidé de ne plus traumatiser mes cheveux. Parce que les perruques ont beaucoup évolué, il y en a maintenant avec des cheveux naturels, très bien faits, qui vous aident beaucoup avec le personnage. Et tu évites de te lever tôt, ce que je déteste, pour passer deux heures comme coiffeuse. Il suffit de le rendre ainsi, comme on rend une peluche usée, à la fin du tournage.
Avec les cheveux gris, je me débrouille du mieux que je peux. Pour le moment, je ne les laisse pas apparaître. Et même si j’aime les gens qui ont de magnifiques cheveux blancs et que je suis fan de Mario Vaquerizo, qui a eu le courage de les laisser pousser sur ses cheveux teints, je n’ose pas. Le jour où je laisserai mes cheveux naturels, dont je ne sais même pas de quelle couleur ils sont, je les raserai à nouveau, et ils donneront le résultat qu’ils veulent. Et adoptez ce nouveau look.
J’ai une très belle peau, ce qui est mauvais parce que je suis négligée. No soy metdica, aunque s muy partidaria de los remedios botnicos, como el agua de rosas, de cremas buenas pero no las ms excesivas, y de cosas como un masajeador de jade que utilizo mucho, o de abrazar un rbol, un laurel que tengo à la maison. Pour moi, le plus important est d’être calme, d’éviter le stress, pour que la beauté apparaisse de l’intérieur.
Je n’ai jamais été folle de sport mais je remarque qu’avec l’âge mon corps me demande de bouger davantage pour ne pas perdre de muscle et éviter cette horreur de la graisse viscérale. J’essaie de faire une routine de yoga et surtout de ballet fit, ce qui m’amuse beaucoup et me maintient en forme, je le recommande à tout âge.
Natalia de la Vega, fondatrice de Tacha, explique que « les cheveux de Rossy sont fins et très raides, et sa frange et sa couleur noire sont super caractéristiques, ce qui lui donne de la personnalité. Ce type de cheveux a besoin soins d’hydratation et de nutrition continuer à prendre du temps. Pour elle, il est primordial d’utiliser toute la gamme Plex et les ampoules 1 minute, simples d’utilisation et pouvant être emportées dans tous ses voyages, en complément du sérum de nuit. »
L’expert recommande Nutri-Plex, la dernière technologie lancée par Pantene pour protéger les liaisons capillaires microscopiques entre protéines et lipides, qui garantissent la résistance et l’élasticité du cheveu et réparent les agressions qu’il a subies. « J’adore la reformulation qu’apporte Pantene, grâce à sa technologie innovante Nutriplex pour réparer et protéger les cheveux ainsi que leurs liaisons sans avoir à inclure un autre produit dans notre routine. Grâce au Nutriplex, incorporé dans le shampooing et l’après-shampoing, nous renforçons dès le intérieur de nos cheveux avec cette routine capillaire facile, simple et bénéfique.